Mes ressources



Mes lectures 


J'ai tout simplement adoré ce livre.

J'ai relevé certains passages qui m'ont inspirée, qui m'ont interpellée.  


Notre comportement, en tant qu'enseignant, avec les enfants.

Ce qu'il ne faut pas faire/éviter : la violence éducative. 

  • « Pour beaucoup d'adultes, il ne peut pas y avoir de 'bonne éducation' sans coercition ni punition. Pour éduquer l'enfant, il faut le dresser, le faire souffrir physiquement et psychologiquement en éveillant chez lui la crainte et la soumission. La relation éducative reste basée sur des rapports de pouvoir, de domination associant souvent souffrances physiques et souffrances morales. La punition est souvent utilisée pour que l'enfant 'marche droit', (...) » (p.214)


Réflexions personnelles

  • La violence éducative est présente partout.
  • Quand un élève aura un comportement inadapté, j'aimerais lui faire comprendre qu'il ne faut pas le reproduire sans le traumatiser pour autant.
  • Le fait de parler à l'enfant, de lui expliquer pourquoi il ne peut pas faire telle ou telle chose sera bien plus positif pour lui, que de lui « crier » dessus.
  • Crier sur un enfant n'améliorera rien, bien au contraire.
  • La communication, le dialogue, priment sur la punition.



L'échec, l'erreur 

  • « Les enfants dévalorisés par leur enseignant deviennent la risée de leurs camarades. Ils perdent confiance en eux, s'isolent, souffrent et ne veulent plus aller à lcole. Est-ce qu'être humilié, dévalorisé ou puni les aide ? Certainement pas, bien au contraire !

Il est néfaste de stigmatiser les difficultés, les erreurs. L'erreur fait partie de l'apprentissage. C'est un outil pour rebondir, pour avancer. L'enfant a juste besoin de comprendre pourquoi il s'est trompé et d'être soutenu, accompagné, pour progresser. » (p.220) 


Réflexions personnelles

  • Comme il est dit dans ce passage : c'est en se trompant que nous apprenons.
  • Aujourd'hui, beaucoup d'enfants ont peur de l'erreur. Ils vivent dans la crainte de faire des erreurs et d'en subir les conséquences (punition, humiliation verbale devant la classe, moquerie, etc.).
  • Plus tard, j'aimerais faire prendre conscience à mes élèves que se tromper est normal, c'est une occasion d'apprendre. Se tromper c'est constater : « Là, ça ne va pas. Je pense que je n'ai pas bien compris. Je vais en parler, je vais revoir cela avec l'institutrice et la prochaine fois, je ferai encore mieux ! ».




Les émotions et le stress à l'école

« Pendant très longtemps, à l'école, l'intellect a régné en maître. Le corps pouvait s'exprimer lors de quelques heures de cours de gymnastique, mais les émotions n'y avaient pas leur place ». Notre corps est une unité indissociable : « - Ce que nous pensons agit sur notre corps et sur nos affects. - Ce que nous ressentons influence notre intellect et notre corps. - Ce que notre corps vit retentit sur notre intellect et sur ce que nous ressentons. » « Ce que nous ressentons provoque une réaction profonde sur notre corps et influence nos pensées » (p.38-39)


Réflexions personnelles

  • Par ces passages, nous comprenons mieux pourquoi les émotions sont si importantes à l'école.
  • Pour que les apprentissages se passent bien, un enfant doit être bien à l'école, il doit se sentir en sécurité (pyramide de Maslow).
  • Un enfant qui se sent bien, c'est un enfant curieux, coopératif, qui désire apprendre, qui s'auto-évalue, etc. C'est non seulement important pour ses apprentissages mais aussi pour lui, pour son moral, pour son identité future, pour la maturation de son cerveau et son développement.
  • Le fait de permettre à l'enfant d'exprimer ses émotions diminuerait son stress. Il se sentirait épanoui, écouté, rassuré. En se sentant ainsi, il serait beaucoup plus motivé en ce qui concerne les apprentissages.
  • Il est donc important, chaque matin, que l'enfant puisse mettre des mots sur ce qu'il ressent et que l'institutrice y soit vigilante. Si elle voit que l'enfant dit sans arrêt qu'il se sent triste, angoissé ou craintif, c'est à l'institutrice de faire la démarche d'aller parler à l'enfant afin de comprendre ce qu'il se passe.

 


En tant qu'enseignant, nous avons souvent tendance à faire des recherches sur comment mieux enseigner, comment mieux accompagner les enfants, comment les motiver, etc.

Pourtant, dans toutes ces recherches, nous nous oublions parfois.

C'est pour cela qu'il est très important de prendre soin de nous. En étant bien dans notre peau, dans notre tête, nous serons bien mieux préparés à transmettre des savoirs à nos élèves. 


Réflexions personnelles

  • Dans ce livre, j'ai trouvé plein de ressources (exercices de relaxation, conseils de pensées positives...) pour prendre soin de moi, écouter mes émotions, booster ma confiance en moi, écouter mes besoins, lâcher prise, réfléchir, etc.
  • Ce livre m'a été très utile car il m'a appris à prendre du temps pour moi. Il m'a appris à ne pas m'oublier dans tout ce que je fais.

 


Ce livre est un très bon outil pour comprendre les spécificités de chaque trouble "dys"

Il se veut être une synthèse des connaissances actuelles sur les troubles d'apprentissage.

Dans ce livre se trouvent plusieurs outils pour repérer ces derniers.

Il propose également des pistes d'aménagements une fois le diagnostic posé.  


Ce livre m'a appris énormément au niveau des ceintures de compétences.

Il m'a appris son fonctionnement, les différentes couleurs de ceintures, ses objectifs, ses avantages et ses inconvénients. 

Réflexions personnelles

  • J'aimerais, plus tard, utiliser les ceintures de compétences dans ma classe.
  • Je trouve l'idée très chouette et ludique. Les enfants travaillent tout en essayant de changer de ceintures et de s'améliorer.
  • Chaque enfant va à son rythme, c'est le plus important.
  • Cela permettra de créer un climat de classe coopératif car les enfants plus rapides pourront aider les enfants en difficulté. 

 


Conférence de Perrine Bigot 


A la suite de la conférence avec Perrine Bigot, j'ai dressé une liste d'éléments qui me seront utiles pour débuter dans ma vie professionnelle (prochaine rentrée scolaire) :


  • Ne pas mettre l'enfant en double tâche.
  • Pour qu'un apprentissage soit efficace, il faut un feedback immédiat. Si on donne la réponse dans une semaine, ça n'a plus de sens.
  • Veiller à l'équité : mettre des petits jeux pour faire comprendre aux enfants l'importance de l'équité.
  • Utiliser le thermomètre comme outil pour visualiser l'énergie dépensée pour réaliser une tâche.
  • Aller vers l'enseignement explicite : l'enseignant dit clairement ses attentes.
  • Vérifier que les évaluations faites ne sont pas des évaluations poubelle : quelle est ma cible pédagogique ? Quelles sont mes attentes ?
  • Varier les moyens, proposer des supports différents pour élargir le filet pédagogique.
  • Le langage oral et écrit est partout dans le système scolaire alors qu'une image vaut mille mots.
  • Ne pas dire à un enfant de nous regarder dans les yeux car l'enfant a besoin de regarder en l'air pour réfléchir.
  • Laisser aux enfants la possibilité d'utiliser leurs techniques et leurs stratégies.
  • Ne pas dire qu'il y a des enfants difficiles mais qu'il y a des comportements difficiles.
  • Être bienveillant : valoriser les comportements positifs.
  • Ne pas parler à l'enfant en tu, mais plutôt parler en termes de comportement.
  • Il faut être exigeant mais être bienveillant.
  • Dire à l'enfant que chaque enfant a une casserole, certains en ont une plus grosse que d'autres, mais nous sommes là pour l'aider à vivre avec elle.
  • L'empan mnésique : capacité à retenir 7 éléments. Un enfant va avoir un empan mnésique plus court. Il faut y penser.
  • Ne jamais répéter quand les enfants sont en train de réfléchir et de faire quelque chose.
  • Utilisation du chuchoteur : quand l'enfant n'entend pas une lettre, lui demander de dire le mot dans le chuchoteur. Le chuchoteur va servir aussi aux enfants qui ont besoin de lire tout haut.
  • Toujours faire reformuler, ne pas répéter.
  • Utiliser des pictogrammes pour soulager la mémoire de travail. L'enfant sait ce qu'il doit faire.
  • Ne pas formuler des consignes en « ne...pas », car le cerveau n'entend pas les « ne..pas »
  • Travailler l'inhibition lors d'activités quotidiennes pour apprendre à l'enfant à mettre son panneau STOP
  • Expliquer aux enfants comment fonctionne le cerveau.
  • Ne jamais dire aux enfants que c'est facile.



Salon de l'éducation 


En allant au salon de l'éducation, j'ai découvert la collection "Atzéo" que j'avais déjà rencontré lors d'une formation que j'ai réalisée pendant le moins d'aout dans le cadre de mon TFE. 

J'aimerais, prochainement, me procurer quelques livres de leur collection qui m'ont l'air vraiment très intéressants.


Articles 


J'ai trouvé un article sur le rythme biologique de l'enfant en période scolaire. 

Il est important, selon moi, d'en tenir compte lorsqu'on élabore son horaire. Il faut placer des périodes avec des activités qui requièrent moins de concentration lorsque l'enfant éprouve plus de difficultés à se concentrer (l'après-midi par exemple).


J'ai lu cet article il y a quelques temps. Je pense, qu'en tant qu'instituteur, mettre en place des rituels tels que : dire son émotion le matin et expliquer pourquoi, le conseil de coopération pourraient vraiment aider les enfants à mettre des mots sur leurs émotions et en parler avec nous. 

De plus, je pense qu'il faut observer nos élèves, voir comment ils se comportent en classe et dans la cour de récréation. Quand on observe des disputes, un mal-être chez un enfant, il faut directement en parler pour régler la situation. 

Pour moi, si on voit des choses et qu'on ne dit rien, ça peut vraiment amener, progressivement à du harcèlement scolaire.

En tant qu'instituteur, nous pouvons même faire appel aux PMS qui se rend dans les différentes classes pour réaliser des animations sur le sujet.

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